Piloter, ce n’est parfois pas de tout repos. Quel pilote n’a jamais été frustré dans l’exercice de sa passion ? Voici un top 10 de situations qui énervent les pilotes !
10 : Les gens qui racontent leur vie en fréquence
En radiotéléphonie, il faut savoir être clair, précis, concis. Pour cela, il faut préparer ce que l’on va dire et sélectionner les informations utiles.
Il ne sert à rien d’en faire des caisses. Pensez aux ATC, surtout quand la fréquence est encombrée.
9 : Le contrôleur qui te balance 150 infos à la fois
F-JM identifié, transit approuvé 4000 pieds maximum en évitant le survol de la ville, transpondeur 7030, la piste 14 en service, QNH 1017, R123 active de 1000 à 3000 pieds, les R183 et R432 actives jusqu’à 7000 pieds, planeurs et voltige active verticale installations jusqu’à 3700 pieds, salade tomate oignon, rappelez pour tout changement.
À ce moment, tu regrettes de ne pas avoir préparé ta feuille et ton crayon, mais surtout tu as la tête comme ça !
8 : Les NOTAM
Ce sont parfois de bien belles surprises.
En particulier quand tu te lèves tôt pour aller à l’aérodrome, tu prépares ta nav, puis tu constates à la fin que le terrain de destination est fermé. Pensez à vérifier vos NOTAM en premier lieu, ça pourrait vous faire gagner du temps !
7 : Les zones militaires
Elles sont parfois un vrai enfer. Quand il faut choisir entre descendre à 500 pieds sol pour les éviter ou faire un détour de 20 minutes pour les contourner, ou encore qu’elles s’activent un peu par surprise, ce n’est jamais très amusant.
6 : Les contrôleurs désagréables
Les contrôleurs sont là pour nous rendre service et nous aider. Pourtant, quelques-uns sont parfois moins sympas. Tu comprends rapidement qu’ils n’ont pas la tête à te rendre service, pauvre petit VFR que tu es !
5 : Un passager qui parle trop
Il y a des passagers qui parlent tellement que tu ne peux te concentrer lors des phases critiques ou des échanges radio. Plutôt que demander au contrôleur de répéter 400 fois, bâillonnez-les.
4 : Les planeurs
Faire du planeur, on ne va pas s’mentir, c’est GÉNIAL ! Dealer avec des planeurs dans le circuit de piste, c’est moins fun. Il existe une règle d’or : Ne jamais parler à la radio quand un planeur se fait treuiller.
Quel pilote n’a jamais eu un coup de panique, lorsqu’il fallait s’annoncer en courte finale mais qu’un planeur commence tout juste à se faire treuiller…
3 : Les écolos
Les avions ça pollue, et patati, l’aérien est une source d’émission de CO2, et patata… Laissez-nous voler bon sang ! On en a déjà assez de l’augmentation des taxes sur l’AVGAS, n’en rajoutez pas une couche.
2 : Les questions inutiles des épreuves théoriques
Avec au top du classement… Les signaux lumineux ! On les apprend et on les oublie aussitôt, n’est-ce pas ?
1 : La météo
C’est LA CHOSE la plus agaçante pour tous les pilotes ! Petite pensée toutefois pour les bretons qui ne peuvent voler que 2 jours par an.
Dans les événements météorologiques nous empêchant le plus de voler, il y a principalement le plafond nuageux, les précipitations et le vent. Un peu moins fréquent, la température ou le givrage peuvent aussi être source d’un no go.
Je confirme 2 jours par an en Bretagne !Inutile de venir dans cette partie du monde si peu accueillant !
çà nous laisse tout l’espace aux Bretons !
Proverbe Breton .. goéland qi se gratte le gland : signe de mauvais temps ; goéland qui se gratte le cul : fera pas beau non plus .
9 : Le contrôleur qui te balance 150 infos à la fois
F-JM identifié, transit approuvé 4000 pieds maximum en évitant le survol de la ville, transpondeur 7030, la piste 14 en service, QNH 1017, R123 active de 1000 à 3000 pieds, les R183 et R432 actives jusqu’à 7000 pieds, planeurs et voltige active verticale installations jusqu’à 3700 pieds, rappelez pour tout changement.
F-JM identifié…..puis le transpondeur est donné aprés !!! Piste 14 en service…pour un transit .? message fake pour critiquer ce que l’on ne maitrise pas…
Visiblement le second degré n’est pas donné à tous… Et oui les contrôleurs donnent souvent la piste en service lors d’un transit CTR !